IL NEIGE...
Jusqu'à l'année dernière, ce phénomène météorologique assez rare à Toulouse, ou même à Paris, me mettait dans un état proche de la transe. Je me précipitais en gloussant sur mon portable ou mon ordi pour être la première à envoyer un message contenant ces deux mots à mes comparses du Figaro. C'est une private joke entre nous, relique de la grande époque où la qualité de notre humour n'avait d'égale que sa vulgarité. Héhéhé :)
A présent, même si la blague me rend toujours aussi hilare, IL NEIGE est aussi synonyme, pour quelques mois, de déblayage de la neige devant la maison, de course sur tapis roulant et du triptyque bonnet-écharpe-gants pour éviter que mes oreilles, mon nez et mes doigts ne tombent...
Carrément méchant, jamais content...
A la fin de l'hiver, j'aurai envie d'y mettre le feu, je rêverai de me balader en short et en tongs. L'été prochain, je trouverai qu'il fait chaud et humide, et que c'est gênant pour courir. Et ainsi de suite, on est jamais content du temps qu'il fait. À part qu'ici, ça prend des proportions colossales, dans un sens comme dans l'autre. Niveau amplitude thermique, on fait pas dans le détail à Montréal: de -35°C l'hiver à +35°C l'été.
Mais ne nous laissons pas abattre et savourons l'humour des bonshommes de neige!
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